Saint-Léger-aux-Bois
Saint-Léger-aux-Bois est une commune des Hauts-de-France située dans le département de l’Oise. Elle est l’une des 16 communes de la Communauté de Communes des Deux Vallées (CC2V).
Contact
- 03 44 75 24 09
1 rue de l'Église, 60170 Saint-Léger-aux-Bois
Lundi, Mardi, Jeudi et Vendredi : 16h30-18h30
- https://www.stleger.info/les72StLeger/region3/60a.htm
En images
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Saint-Léger-aux-Bois est, à l'origine, une maison de chasse des rois mérovingiens. A la Révolution, la population est essentiellement occupée à la culture du chanvre et à l'exploitation de la forêt. Au début du 20ème siècle, on travaille également pour les brosseries de Tracy-le-Mont ou pour la fabrique de balles de la commune. Saint Léger est détruit à 80% au lendemain de la 1ère Guerre Mondiale. Et lors du Second Conflit, l’occupant installe un camp de prisonniers marocains dans la commune, et des abris de munitions en lisière de forêt.
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Église Saint Jean-Baptiste : A partir de 1790, l’église du prieuré devient paroissiale. En 1914, avant la Grande Guerre, elle est classée Monument Historique. Elle est très peu endommagée par le conflit et est restaurée grâce aux financements de la riche américaine Mme Luckmeyer. On trouve, à l’intérieur de l’église, des graffitis qui datent de cette époque. Le calvaire, qui se trouve à côté de l’église, rappelle l’emplacement de l’ancien cimetière..
Monument aux morts : Le monument est de forme d’un obélisque de pierre, décoré de la croix de guerre. Le nom de 26 enfants de la commune y sont inscrits. Son emplacement près du cimetière n’est pas un hasard, en effet se trouvaient à proximité les 1ères tranchées et le front stabilisé à Bailly.
Les étangs : En 1920, la 1ère exploitation de glaise ouvre dans la commune, sur la rive gauche de l’Oise, pour le compte de la briqueterie à Ribécourt. Elle s’arrêtera à la fin des années 1970. Depuis, ces étangs ont été base de loisirs, étangs de pêche pour comités d’entreprises puis hébergement avec des cabanes sur l’eau.
La fabrique de balles à jouer : Elle est fondée en 1839 par la famille « Délaissement » et reprise en 1872 par la famille « Bernard-Rondel ». En 1906, elle s’agrandit avec la construction de 2 nouveaux bâtiments. C’est alors que la « Rue d’Enfer » devient « Rue de la Fabrique ». Mais, l’activité s’arrête après la 1ère Guerre Mondiale.
De nombreuses villas, comme « les Croisettes » ou encore « le Chalet Gabriel ».
Chemin de randonnée « Balade Saint-Giotaine » : une grande boucle de 9,3km et une petite boucle de 6,15km – départ du parking de la salle des fêtes.
